la vie de l'artiste en gravure

biographie

1970-1973























































































































































































1970 Premières toiles de grand format et de couleurs vives proche de la série des peintures sur carton des années précédentes

ŒUVRE IMPRIMÉ

Estampes présentées:
-Il Cancello, HH - Lithographies, Bologne (deux expositions, février et décembre)


C'est une année féconde pour l'artiste. Plus de la moitié de la production imprimée de l'artiste sera d'ailleurs produite durant les années 1970-1978. Il pratique toutes les techniques, sur cuivre et pierre lithographique, pour une suite majeure de soixante et une estampes.

C'est chez Gustavo Gili, à Barcelone, que HH renoue avec la technique de l'eau-forte qu'il avait délaissée depuis son passage chez Lacourière, à Paris en 1957.
" J'ai repris la gravure parce que nous avons fait connaissance plus tard en Espagne d'un graveur excellent, Gili, chez lequel j'ai pu faire les plus grandes gravures que j'ai faites de ma vie, en allant jusqu'au bord sans laisser le moindre blanc. Lui-même tenait la plaque, les autres aidaient, c'était vraiment le même jeu en commun que pour les lithographes en Suisse." (1)

Anna-Eva Bergman et HH résident longuement à Barcelone (du 27 mai au 4 juillet). L'artiste produit vingt-deux gravures, dont cinq de très grand format.
" [...] j'ai trouvé à Barcelone une exceptionnelle occasion d'exécuter toute une série de gravures d'assez grande taille. L'ambiance était parfaite et la compréhension de l'imprimeur me permettait de prendre toutes les libertés, entre autres celle de tirer les planches en positif et négatif. Ceci augmentait essentiellement le champ expressif. Dans le deuxième cas, j'approchais surtout beaucoup de l'expression directe de mon action de grattage dans le vernis et dans la plaque de cuivre". (1)

D'emblée il "attaque" le cuivre sur de grandes plaques (52 x 79 cm) avec une écriture nouvelle, faite de tracés linéaires à l'eau-forte. " La gravure a un caractère un peu agressif, acide, même quelquefois coupant: enfin j'aime beaucoup couper, gratter, maltraiter une matière si je peux, y laisser la trace exacte et précise de ces actions. C'est le grand avantage de la gravure, on gratte dans les vernis, on laisse mordre l'acide, ça commence à bouillir..." (1)
Les plaques sont encrées en deux tons seulement, noir ou noir indigo. Un seul cuivre est employé, éliminant toute association de plaques, comme il le faisait précédemment.
" En principe, je préfère l'inspiration directe, momentanée, et toutes les lithos en couleur, plus encore les gravures en couleur, sont réalisées et deux, trois ou quatre étapes. Il faut faire d'abord la planche jaune, puis la noire, puis la verte, attendre que cela sèche, revenir deux jours après, quatre ou six jours après, puis c'est dimanche, puis c'est lundi, finalement vous n'êtes plus dans le bain. Si à ce moment-là je veux améliorer ou reprendre quelque chose, ce n'est plus ça, il n'y a plus de la spontanéité première que je recherche en art. » (1)
Après la mise au point, la teinte noir indigo de l'encre est précisément décrite, afin d'en retrouver l'exacte composition lors d'applications futures :
"NOIR HH AVEC BARBARA CHEZ GILI 1970
5 PARTS LAQUE BLEUE
3 PARTS LAQUE VIRIDINE (VERT)
1 PART NTD (NOIR TAILLE / DOUCE 55981)
TOUT CHARBONNEL."
[petite feuille de carnet quadrillée, Archives FHB]
Il édite plusieurs "doubles" éditions (non pas en deux lots, comme précédemment), composées cette fois d'une impression en taille-douce, et d'une seconde, dite "roulée en noir". La plaque est alors encrée au rouleau comme une gravure en relief, les traits mordus apparaissant en blanc sur le fond encré.

G-1970-19 - RMM 301
G 1970-21 - RMM 303
A propos des plaques dites "inversées: " On ne les inverse pas du tout, on passe légèrement avec le rouleau ce qui noircit la plaque mais laisse en blanc les creux, on passe ensuite la planche à la presse en n'insistant que légèrement. On obtient ainsi le négatif de la plaque. Ce sont les surfaces que l'on imprime."
Puis, HH conçoit pour son propre compte, quatre grands formats horizontaux, en positif et en négatif (40 + 40 épreuves). Suivront huit formats plus petits, toujours pour l'artiste, à 75 épreuves.
G 1970-10 - RMM 292    
L'imprimeur, également éditeur, publie un album.


G 1970-2

G 1970-3

G 1970-5
LAS ESTAMPAS DE LA COMETA (G.Gili), Barcelone 1971
G 1970-1-3, 5 et 8
Le dernier cuivre sorti de presse réunit les interventions de tous les membres de l'atelier.
G 1970-22 - RMM 304    
C'est toujours à Barcelone que HH réalise les vingt lithographies pour l'album Farandole. Il emploie là les mêmes techniques que celles pratiquées en 1966 chez Erker-Presse (crayon, aérographe, pinceau, grattage, crachis). Cette suite en plusieurs couleurs nécessite l'association de plusieurs pierres. Il choisit des couleurs vives, inédites par rapport aux teintes employées jusqu'alors.
Pl. VI - RMM 310 Pl. XI - RMM 315 Pl. XIII - RMM 317 FARANDOLE, Hartung, Jean Proal, Polígrafa, Barcelone 1971
L 1970-1-L 1970-20
" […] Quand j'ai illustré Jean Proal, j'ai trouvé des choses qui me touchent beaucoup. Il s'agit dans la partie que j'ai illustrée de la mort. Ce qu'il dit, à propos de la mort, je savais la vérité de ce qui était exprimé là, de ce qui était senti, me touchait beaucoup, et correspondait à quelque chose que moi-même je voulais exprimer, même si j'avais réalisé les lithographies déjà avant de connaître son texte. Cela allait ensemble.» (1)
La planche II de Farandole n'est pas si éloignée de l'univers de ses peintures sur carton de 1975.

Pl. II - RMM 306

P40-1975-H38, 1975 – acrylique sur carton
Suivent douze lithographies pour l'artiste qu'il fera imprimer, précédées de quelques états, à 75 épreuves chacune, excepté les deux dernières qui ne dépasseront pas les quelques épreuves d'atelier ou d'essai.
L 1970-31 - RMM 335


L 1970-32 - RMM 335

En novembre, l'imprimeur Gili rencontre Hartung à Paris, pour mettre sans doute au point nombre de questions relatives aux bons à tirer (corrections. teintes de fond, encrage). Les tirages seront effectués en 1971.

La même année, HH travaille dans l'atelier Arte, d'Adrien Maeght, à Paris, pour la première fois. Des sept photo-autographies ne subsistent, apparemment que quelques épreuves d'atelier, que l'artiste gardera dans ses fonds. Ce sont des ébauches ou des essais qui préparent sans doute la production de l'année suivante dans le même atelier.
L 1970-33 - RMM 337




L 1970-34 - RMM 337

1971 En février Hartung- Selected works (mostly of 1970), Lefebre Gallery, New-York, en mai, Hartung - Toiles, peintures sur carton, lithographies et gravures, Galerie René Metras, Barcelone, en juin Hartung - Grands formats 1961-1971, Fondation Marguerite et Aimé Maeght, , Saint-Paul.
Participation à Hommage à Christian et Yvonne Zervos, Galeries Nationales du Grand Palais, Paris

ŒUVRE IMPRIMÉ

Estampes présentées:
- Gissi Galleria d'Arte, présentation de Farandole et Las Estampas de la cometa, Turin
- Galerie de France, 12 peintures récentes de grands formats, présentation de Farandole et Las estampas de la Cometa, Paris (19 novembre 1971 - 12 février 1972)


C'est à Paris toujours, chez Arte, dirigé par Adrien Maeght, que HH compose une suite de photo-autographies (dessinée au pinceau, craie, grattoir ou aérographe). L'artiste ne semble pas vraiment à son aise avec ce nouveau support, puisque l'impression se limitera à sept épreuves d'essai pour chacun des sujets.
Dans le même atelier, il exécute dix-sept zincographies, dont certaines commencées en 1970 déjà, toutes sur un aplat de couleur (qu'il définit après plusieurs essais et variantes), traversé de grattage apparaissant en blanc, renforçant le dessin noir. Plusieurs d'entre elles sont tirées à 75 épreuves, dont trois pour la Fondation Maeght, à Saint-Paul, et Adrien Maeght, imprimeur et éditeur.


L 1971-5A - RMM 349

L 1971-6 - RMM 354

L 1971-7C - RMM 357

L 1971-1
- RMM 344
L 1971-1, 1970
Editée par le Cercle graphique européen, Amsterdam, et exposée au Stedelijk Museum avec Alechinsky, Antes, Bazaine, Corneille, Kokoschka, Moore, Saura, Vieira da Silva, Sutherland, Vasarély et Bram van Velde
Parution du coffret, aux éditions Polígrafa, à Barcelone [1971], comportant les 20 lithographies gravée l'année précedente.

1972
Estampes présentées:
- Städtische Galerie, Haus Seel Siegen, Graphik von Hans Hartung (25 gravures et 35 lithographies), Siegen (26 février - 26 mars)
- Mannheimer Kunstverein, HH -HH - Grafik 1921-1870 (suite de l'exposition Siegen), Mannheim
- Galerie Egam, Hartung - Gravures, Madrid

1973 Le 31 janvier marque la fin de la construction des ateliers et de la villa d'Antibes où le couple vivra désormais, exceptés quelques brefs séjours à Paris. L'ensemble comprend quatre bâtiments: l'un pour l'habitation et le secrétariat, les deux autres consacrés aux ateliers d'Anna-Evaet de HH (comprenant aussi l'atelier des assisants, une menuiserie et un dépôt, véritable chambre forte pour les tableaux). Un autre bâtiment, plus petit, est affecté au logement du gardien et des assistants.
Année très productive, HH crée des centaines de dessins et peintures.
- Galerie Maeght, HH - Peintures récentes, Zurich

ŒUVRE IMPRIMÉ

Estampes présentées:
- Galerie Noëlla Gest, HH - Peintures, lithographies, présentation de Farandole, Saint-Rémy-de-Provence


C'est l'année la plus fructueuse de la décennie, et de toute sa carrière, dans la production gravée. Une centaine d'estampes seront réalisées, avec de nombreuses éditions, et une grande variété de techniques. Le fait que l'artiste ne puisse pas encore jouir de son atelier d'Antibes encore en chantier), favorise sans doute, à Saint-Gall, une création abondante de lithographies et de bois gravés.

Mais avant, au mois de mars, HH collabore avec les Ateliers Crommelynck, à Paris.
HH réalise treize gravures (G 1973-1 à 13) faites de traits assez fins et légers, aériens parfois (eau-forte, aquatinte, vernis mous, burin), mais dont ni le style, ni le procédé ne réapparaîtront. Hormis les trois planches réservées aux albums Requiem pour la fin des temps et Elégie des alizés, les gravures ne sont tirées qu'à un petit nombre d'épreuves, signe peut-être que l'artiste n'appréciait pas réellement le résultat. Il ne reprendra l'eau-forte qu'en 1978, chez Lacourière.


G 1973-3 - RMM 363

G 1973-4 - RMM 364

G 1973-8 - RMM 368
L'artiste se déplace à Saint-Gall à deux reprises (2 avril-1er mai, 1er-6 novembre).
" A Saint-Gall, pour la première fois, poussé par Larese, j'ai essayé la gravure sur bois."
(12)

Il travaille la xylographie pour une suite de vingt-six planches (H 1973-1 à 26).
" C'est quasiment la première fois que je travaille le bois, sauf dans ma toute première jeunesse où j'ai fait un Franz Liszt pour un bon ami musicien." (5)

Sans cesse, HH découvre, comme instinctivement, les difficultés et les atouts des techniques encore méconnues, pour en développer instantanément de nouveaux modes d'expression.
Pour vingt-trois de ces xylographies, Hartung ne va pas graver classiquement le bois, discipline beaucoup trop lente pour lui. Pour garder la rapidité dans l'exécution, il grave le support à l'aide de divers outils et brosses qui ne sont habituellement pas maniés par les xylographes. Ce procédé annule le geste et le mouvement de la main. Avec ces outils, il procède par touches et coups successifs et fait apparaître progressivement les blancs en écrasant le bois. Les points de lumières, comme feux d'artifice, créent la composition. Ce procédé ne supporte aucun repentir.
" … Si on pouvait faire son bois rapidement - car je ne peux pas travailler lentement, je n'y arrive pas, je n'ai pas la patience - j'aurais fais comme tout le monde. Il a fallu que j'invente. Je suis allé dans une menuiserie, j'ai demandé de gros morceaux de bois, une hache, un gros marteau, un de ceux qui ont un gros bout et un plus fin, enfin tous les instruments de menuiserie. Puis je me suis déchaîné contre les morceaux qu'on me donnait, qui étaient bien fixés - car sans cela ils sautent - et c'est de cette manière que j'ai fait les gravures." (1)
Au bois gravé s'ajoutent quelques taches vivement colorées (jaune, bleu ou rouge). Les cinq premières planches ont été éditées par Erker-Presse à quinze épreuves, alors que HH reçoit plus de cent tirages de chacune. (H 1973-1 à 5).

H 1973-2 - RMM 375

H 1973-3 - RMM 376

H 1973-5 - RMM 378
Onze autres planches (H 1973-6 à 11, 16, 17, 19, 21 et 22) connaissent un tirage de 75 à 118 épreuves pour l'artiste.

H 1973-6 - RMM 379

H 1973-7 - RMM 380

H 1973-19 RMM 392
HH commande l'impression de l'une d'elle (H 1973-14) à 47 épreuves pour le premier état, puis à 107 épreuves pour le second. Viendra ensuite un tirage pour la Galerie Im Erker, comme affiche pour l'exposition de 1974.
 




H 1973-4 - RMM 377
 

H 1973-14
- RMM 387 et l'affiche d'exposition
"Hans Hartung - Werkstattschau 1973 - Grafik aus der Erker-Press, Galerie Im Erker, St-Gall (22 mai - 29 juin 1974)

H 1973-18
- RMM 391
Edition Société des amis du Musée d'art moderne de la Ville de Paris
Il clôt cette suite avec trois bois monumentaux gravés sur de très longues planches non équarries (220 à 320 cm ); il en commande de 25 à 30 épreuves en noir.









H 1973-24
- RMM 397
Le dos du bois est gravé par Anna-Eva Bergman -
" Nous en avons faites en commun, ma femme et moi, chacun de son côté, gravant un même énorme bloc." (12)


H 1973-25 et 26 - RMM 398 et 399
Vraisemblablement avec les mêmes outils, il produit deux linogravures (Lino 1973-1 et 2) qu' Erker-Presse édite à une quinzaine d'exemplaires. Il a abordé cette technique pour une seule tentative en 1963 et ne poursuivra pas après cette derniere expérience.
Lino 1973-I - RMM 400 Lino 1973-II - RMM 401
La technique impose de confier l'impression des innombrables éditons à l'atelier de typographie voisin d'Im Erker, Rüdiger's Erben, qui mettra de longs mois, voire des années dans certains cas, pour livrer les séries sur papier.
HH n'abandonne pas la lithographie pour autant, et produit soixante nouvelles planches, encrée dans sa teinte de prédilection, le noir indigo. La panoplie des outils se réduit (crayon, rouleaux divers, grattoir et retraits d'encre), mais il développe une richesse de rendus et de structures confirmant sa parfaite aisance. " Pour la gravure comme pour la lithographie, je préfère, le noir et le blanc, mais encore plus un noir bleuté précis que j'utilise depuis quelques années. [...] Le mouvement direct de la démarche est bien plus spontané lorsqu'on s'en tient à un seul élément, lorsque l'on peut arriver en un seul jet au résultat final, dans le seul et même esprit. Lorsqu'on fait une première impression, et puis encore une, et puis on réfléchit qu'il faut encore un jaune, qu'il faut modifier quelque chose, le résultat est différent de celui escompté, il est faussé; la précision et la spontanéité sont perdues." (12)
La très grande quantité de pierres lithographiques, de belle qualité et de grande taille, dont dispose l'atelier de Saint-Gall, a sans doute séduit HH, qui a profité de cette situation pour travailler intensément. Les sujets prennent de l'ampleur (généralement 100 x 75 ou 75 x 100 cm), il édite pour lui-même à 75 épreuves et plus.

L 1973-6 - RMM 407

L 1973-6 - RMM 424


L 1973- 42 - RMM 443
" Le travail en monochrome - pour ceux qui acceptent de s'y restreindre - permet une plus grande rapidité, presque l'instantané. Il me paraît être la forme la plus noble de cet art." (2)
HH emploie des rouleaux, de largeur et structures variées, traversant d'un bord à l'autre le surface de la pierre. Les effets sont créés par la diversité de l'encrage du rouleau, le jeu des superpositions et la transparence des encres.
L 1973-18 - RMM 419
" … avec le temps, j'ai trouvé que la litho offre beaucoup d'autres possibilités. On peut travailler avec des rouleaux et de l'encre épaisse qui donne par les pores de la pierre une sorte de transparence très belle. Cela permet aussi de faire d'assez grandes taches, de jouer avec d'assez grandes masses, et l'on peut plus facilement dominer une surface d'une certaine envergure. Le grand avantage, c'est que cela va très vite, on n'a pas à attendre que cela bouille pendant des heures: ce qu'on fait est là tout de suite. Après vient le travail du lithographe, ce qu'on ne peut pas faire, avec des gommes, des anti-gommes, des acides, un tas d'encre, du talc… Tout cela est absolument impossible à faire pour l'artiste, lui-même." (1)
Dans sa peinture aussi, il emploie toutes sortes de rouleaux dont les traces couvrent de vastes toiles. HH ne cesse de recourrir au noir indigo.
T1976-E22 – acrylique sur toile – 111 x 180 cm
" Au contraire de la gravure, j'ai trouvé dans les pierres lithographiques une substance qui permet plus facilement les grandes masses et, grâce au grains de ces pierres, une merveilleuse transparence." (2)

Une liste établie par HH, conservée dans les archives de la FHH, présente quelques lithographies comme étant ses préférées.

L 1973-12



L 1973-15

L 1973-21


L 1973-45
La Galerie de France choisit trente-quatre lithographies qu'elle diffuse à la faveur des expositions consacrées à l'artiste.

L 1973-2

L 1973-14

L 1973-20

L 1973-43
Pour plus de cinquante compositions, HH prend l'habitude de complèter le tirage de sept exemplaires sur acétate (souple et transparent).

Neuf ouvrages et albums comprendont un tirage original ou une édition de tête.

L'ÉMERVEILLÉ MERVEILLEUX - Hommage à Joan Miro, Le Vent d'Arles 1973 (musique de Stockhausen, photographie de Perrine, poèmes de Alberti, Char, Dupin, Leiris, Prévert, Queneau, Ritsos; avec Calder, Man Ray, Lam, Chillida, Clavé, Hartung, Masson et Tàpies
G 1973-1 - RMM 361
L'HERNE, livraison consacrée à Thomas Mann, Cahiers de l'Herne, Paris, n° 23, 4e trimestre 1973
G 1973-2 - RMM 362
ELEGIE DES ALIZES, Léopold Sédar Senghor, Editions Regard, [Paris] 1978
G 1973-10 - RMM 370, GM 1978-22 - RMM 595 et GM 1978-19 - RMM 592

REQUIEM POUR LA FIN DES TEMPS, Eddy Batache, Editions Georges Visat, Paris 1978
G 1973-12 et G 1973-13 - RMM 372 - 373
HANS HARTUNG - Grafik aus der Erker-Presse 1973 - Lithografien · Holzschnitte · Linolschnitte, catalogue d'exposition, Erker-Verlag, Saint-Gall 1974
L 1973-26, édition de tête - RMM 427
HOMMAGE À PICASSO, Propyläen- Verlag, Pantheon-Presse, Berlin et Rome 1973
L 1973-31 - RMM 432
UN MONDE IGNORÉ VU PAR HANS HARTUNG, poèmes et légendes de Jean Tardieu, Editions d'art Albert Skira, Genève 1974
L 1973-33, édition de tête - RMM 434

ERKER-TREFFEN 2, textes et estampes de Bergman, Dorazio, Hartung, Heidegger, Huchel, Ionesco, Georg Jünger, Lam, Laxness, A. et M. Mitscherlich, Rickey, Santomaso, Schmied, Tàpies et Wotruba, Erker-Presse, St-Gall, 1974
L 1973-36 - RMM 437
HANS HARTUNG 1971-1974, catalogue d'exposition, avec une interview de HH par François Le Targat, Galerie de France (Arts et métiers graphiques), Paris 1974
L 1973-59, édition de tête - RMM 460