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la vie de l'artiste en gravure

biographie

1938-1956

1938-1956
1938-1956






















































































































































ŒUVRE IMPRIMÉ (vers parcours 1938)
ŒUVRE IMPRIMÉ (vers parcours 1946)
ŒUVRE IMPRIMÉ (vers parcours 1947)
ŒUVRE IMPRIMÉ (vers parcours 1949)
ŒUVRE IMPRIMÉ (vers parcours 1952)
ŒUVRE IMPRIMÉ (vers parcours 1953)

1938 Séparation d'avec Anna-Eva, qui se rend en Italie pour se soigner. Quelque temps après, le divorce est prononcé à la demande d' Anna-Eva Bergman. L'ambassade d'Allemagne lui retire son passeport, son existence entière devient de plus en plus difficile. "Je me sentais persécuté, oui, même en France. Tout le monde se méfiait de moi, et je me méfiais de tout le monde." (11)
Il trouve refuge pour un an dans l'appartement d'Henri Goetz et travaille dans l'atelier de Julio González auquel il se lie d'une étroite amitié; début d’une relation avec Roberta Gonzalez, fille du sculpteur. Création d'une sculpture (et d'une autre, restée inachevée) exposée au salon des Surindépendants
En juillet participation à Exhibition of twentieth Century German Art, New Burlington Galleries, Londres.
En novembre, participation à Exhibition of collages papiers-collés and photo-montages Guggenheim Jeune, Londres.

ŒUVRE IMPRIMÉ

Il emploie des techniques diverses (de multiples pointes ou gros burins, ainsi que le traitement par oxydation), qui semblent inspirées du savoir-faire de Gonzalez. Le fond des plaques, passablement oxydé, rend la lecture de l'image difficile. Les sujets sont désormais abstraits.

[Composition abstraite I] - RMM 26  
[COMPOSITION ABSTRAITE III], [1938/1939] - RMM 28
Le sujet présenté verticalement a été orienté horizontalement par la suite
.
 

1939 Avril, Galerie Henriette, Roberta Gonzalez et Hans Hartung - Dessins et pastels, Paris. En mai, participation à Abstact Concrete Art, Guggeheim Jeune, Londres. En juillet , Réalités Nouvelles, Galerie Charpentier, Paris (est présenté un dessin, sans mention au catalogue, car HH n'a été accepté qu'au dernier moment grâce à l'insistance de Jean Hélion).
Le 22 juillet, il épouse Roberta González.
En septembre, Il est retenu 10 jours au stade de Colombes puis 4 semaines au camp de Meslay en Maine. Le 26 décembre il signe son engagement dans la Légion Etrangère, sous le pseudonyme de Jean Gauthier, et est envoyé en Afrique du Nord pour recevoir une formation militaire.
Reproduction de Sculpture 1938 dans Partisan Review, New-York

1940-41 Démobilisation après l'armistice le 7 octobre; Hartung revient en France, dans la zone libre et vit auprès de la famille González, réfugiée dans le Lot. Il travaille comme ouvrier agricole auprès du châtelain de la région et ne pratique qu'occasionnellement son art.
En 1940, T 1938-2 est exposé et reproduit dans Museum of Living Art, NewYork
En 1941, reproduction d’un dessin dans Partisan Review, New-York

1942-44 En mars 1942, Julio González meurt.
En mai 1943. à la suite de l'occupation du sud de la France, Hartung prend la fuite en Espagne où il est arrêté par la garde civile et emprisonné dans les geôles de Figueras, Gerone, Barcelone et au camp de Mirando de Ebro. Après sept mois de captivité, déplacé au Maroc il s'engage dans l'armée régulière française, mais il est renvoyé de force dans la légion étrangère en raison de sa nationalité allemande. Le 20 novembre 1944, lors d'une attaque à Belfort, en tant que brancardier, il est gravement blessé : et sera amputé de la jambe droite.

1945 Durant l'été, Hartung retourne à Arcueil. Il apprend que la plupart des toiles de ses débuts (jusqu'en 1932), restées à Leipzig chez sa soeur, ont été détruites par un bombardement. Il reprend courageusement le travail, après six années perdues pour la peinture. " Mes dessins étaient traversés de traits entortillés, étranges, embourbés, désespérés comme des griffures […] C'était une peinture véhémente, révoltée. Comme moi-même. J'avais le sentiment d'avoir été floué. A part quelques Français qui avaient été mobilisés, les autres peintres avaient tous passé la guerre réfugiés quelque part. Ils n'avaient cessé de travailler, de progresser." (2)
Participation aux Surindépendants.

1946 Février, expositions de groupes, Salle du centre des recherches rue Cujas, Galerie Denise René, en mai, exposition personnelle Jean Hartung, chez Hans Ulrich Gasser, Zurich.
Le 9 novembre, Hartung obtient la nationalité française, et reçoit des décorations (Médaille militaire, Croix de guerre et Légion d'honneur).

ŒUVRE IMPRIMÉ

HH crée cinq premières lithographies qu'il dessine sur les pierres de l'atelier Desjobert, à Paris. Les sujets, de formats assez modestes, sont restitués à partir de dessins antérieurs à la guerre. Ces figures sont totalement emblématiques de l'orientation abstraite de l'artiste.


mine de plomb, 1935

encre, 1938

encre, 1938

pastel, 1940

On remarque que les lithographies ne sont pas inversées par rapport aux œuvres initiales. HH a donc copié les dessins assez parfaitement, à l'envers pourtant, sur la pierre lithographique, afin qu'ils soient restitués à l'identique à l'impression. La spontanéité tient donc ici peu de place. La vigueur de la ligne tracée ou grattée est cependant restée intacte.

L 01 - RMM 29

L 02 - RMM 30

L 03 - RMM 31 
 
L 05 - RMM 33
" Etant porté dans les arts plastiques à tout ce qui est graphisme, j'étais naturellement attiré par la gravure et la lithographie, techniques qui toujours au moment de leur grandeur étaient basées sur le noir et le blanc ainsi que sur le trait." (4)
Il ne donne plus d'intitulé à ses gravures, celles-ci seront titrées d'une lettre (G pour Gravure, L - lithographie et H - Holzschnitt) suivi du numéro et de sa date. Il fait de même pour sa peinture (D - Dessin, P - Œuvres sur papier, T - Tableau, ainsi que A - Aquarelle, C - Charbon (fusain), E - Encre et G - Gouache). Il renommera d'ailleurs ces œuvres antérieures, selon ce système. " Je ne donne pas de titres mais des numéros [...] pour ne pas trop décider de l'impression que le spectateur a du tableau." (22)
Peu d'épreuves (de neuf à douze) sont imprimées, hormis l'édition (à 100 exemplaires) pour Art abstrait.
  ART ABSTRAIT - 12 Lithographies originales, préface de Charles Estienne, Editions Opéra, Paris 1946
Avec Deyrolle, Del-Marle, Dewasne, Domela, Engel-Pak, Fleischmann, Hartung, Misztrik de Monda, Poliakoff, Raymond, Schneider, Warb
L 04 - RMM 32
Le portefeuille contient le petit texte: " Du mois de février au mois de juillet 1946 se sont tenues à Paris, rue Cujas, une série d'expositions consacrées à l'art abstrait. Dans une salle ouverte au coeur du Quartier Latin, des milliers de visiteurs, surtout des étudiants, ont pu voir des toiles représentatives de toutes les tendances de cet art encore si combattu, encore si peu connu. Cinq conférences faites dans la même salle parallèlement aux expositions, furent consacrées à l'art abstrait, sa raison d'être, son évolution, ses théories, ses techniques, sa place dans le monde actuel des arts, des lettres et des sciences. […] Pour laisser une trace vivante de ces manifestations, les peintres ayant participé à ces expositions ont composé spécialement pour la circonstance les lithographies qui forment cet album. Chaque peintre a également choisi, chez un de ses auteurs préférés, un passage qui a paru lui convenir plus particulièrement, qui lui semblait donner une justification, une explication de son art; ou qui, à l'occasion, puisse faire une excellente boutade dans le feu d'une discussion plus ou moins académique."

1947 Février, Hans Hartung, Galerie Lydia Conti , Paris (ouverture de la galerie et préface de Madeleine Rousseau)
Juillet participation au Salon des Réalités Nouvelles. Le cinéaste Alain Resnais tourne un film sur Hartung qui sera présenté en Allemagne en 1948, et à la Librairie-Galerie La Hune en 1950.

ŒUVRE IMPRIMÉ

" ...Lorsque j'eus suffisamment d'argent pour acheter du matériel presqu'autant que je voulais, pendant deux ans, et ce pour la première fois, je n'ai fait que du pastel, des eaux-fortes et des lithographies que j'exécutais sans préparation, directement sur le papier, le cuivre ou la pierre." (12)
Première expérience de taille-douce pratiquée avec une belle diversité de procédés (vernis mou, eau-forte, pointe sèche, morsure directe et burin). Les cuivres sont vraisemblablement imprimés chez Lacourière plus tardivement. " Ensuite une douzaine de gravures en 1947. Format en général 16/11 cms. Jusque là uniquement des gravures en noir et blanc en utilisant la pointe sèche, soit l'eau-forte, rarement l'aquatinte." (4)
C'est sans doute à l'occasion du projet de livre pour Aimé Césaire que HH est "entré en gravure" et qu'il a, dans la foulée, réalisé cette suite dont seules quelques épreuves furent tirées, excepté l'une d'elle qu'il fera reproduire à 25 épreuves pour lui-même.

G 010 - RMM 43  
Huit de ces pièces ont été reprises en héliogravure, lors de son passage chez Lacourière, en 1953 ou 1957 (G 03, G 04, G 06 à G 09, G 011 et G 012).

G 04 - RMM 37

G 07 - RMM 40

G 011 - RMM 44
" C'est le grand avantage de la gravure, ça commence à bouillir… Je l'ai d'ailleurs fait tout seul au début, et les résultats n'étaient pas si mauvais – pas du point de vue technique – mais enfin, ce n'était quand même pas mal. Seulement je n'avais pas l'argent pour faire tirer les planches…"(1)
Quelques pièces renvoient à des dessins, comme cette encre sur papier, que l'artiste a reproduit telle quelle, et qui se trouve donc inversé à l'impression.

G 08 - RMM 41
 
encre, 1947
"… L'une des gravure avait été faite pour Aimé Césaire, mais quand je fais une chose j'en fais, en réalité, toujours au moins dix. Tout le tirage a été fait pour la gravure de Césaire mais je n'ai pu faire tirer que quatre épreuves des autres. Il y avait une dizaine de gravures bonnes et cela faisait déjà quarante exemplaires. Quand j'ai eu un peu d'argent pour pouvoir payer les autres tirages, on avait tout simplement fondu les plaques et revendu le cuivre… » (1)
dessin SOLEIL COU-COUPÉ, Edition K, collection Le Quadrangle, Paris 1948
G 05, gravure, créée en 1947
RMM 38 et dessin

1948 En février, Galerie Lydia Conti, Hans Hartung, Dessins 1922 - 1948, Paris puis participation à Prise de Terre, Galerie René Breteau, Paris. En avril, participation à HWPSMTB, Galerie Colette Allendy, Paris. En juillet, participation au Salon des Réalités Nouvelles. Puis Biennale de Venise et participation à l'exposition itinérante, Wanderausstellung französischer abstrakter Malerei, organisée par Ottomar Domnick, Stuttgart, Munich, Düsseldorf, Hanovre, Francfort, Wuppertal, Casse.
Fin 1948, premier retour en Allemagne; séjour chez Ottomar Domnick à Stuttgard où il réalise plusieurs toiles.

1949 En janvier, Peter Foldes and Hans Hartung, The Hanover Gallery, Londres. En avril Hans Hartung, Moderne Galerie Otto Sangl, Munich. En octobre participation à Painted in 1949, Betty Parsons Gallery, New-York.
Publication de la première monographie consacrée à Hartung, textes de Madeleine Rousseau et Ottomar Domnick et préface de James Johnson Sweeney, Domnick Verlag, Stuttgart

ŒUVRE IMPRIMÉ

Premières estampes en couleur (sans doute des dessins reportés sur zinc) pour l'édition de l'album milanais.

ALBUM DEL EDIZIONI DEL MILIONE, introduction de Beniamino Joppolo, Milan 1949
avec Dominguez, Birolli, Gischia, Bordoni, Morlotti, Pignon et Pizzinato
L 07 et L 08 - RMM 46 et 47

1950-1951 En avril 1950, participation à l'exposition à la première exposition de Advancing French Art, Galerie Louis Carré, New-York

En mars 1951, participation à Véhémences confrontées, Galerie Nina Dausset, Paris, en avril Galerie Louis Carré, avec Schneider et Lanskoy, Paris, puis Galerie d’Art Moderne, Bâle, Hans Hartung. Août Galerie Der Spiegel, Hans Hartung Pastelle und Zeichnungen, Cologne
* Décoration, chevalier de la Légion d'honneur

1952 Février, Kunsthalle, Basel, Hans Hartung - Walter Bodmer, juin Biennale de Venise , octobre Galerie Rudolf Probst, Hans Hartung, Mannheim.
Pour la première fois depuis leur séparation de 1937, Hartung rencontre à nouveau Anna-Eva Bergman, revenue en France. Leur relation reprend. Et l'un et l'autre se séparent de leur époux respectif.

ŒUVRE IMPRIMÉ

HH pratique la lithographie (avec des crayons, pinceaux et grattoirs) chez Jean Pons. Pour quatre de ces planches en couleur, il recourt à la combinaison de plusieurs pierres.



L 1 - RMM 48


L 2 - RMM 49

L 3 - RMM 50
Pour une de ces composition, il essaie la couleur, et l'abandonne pour le tirage final.
L 8, essai couleur et tirage définitif - RMM 55

1953 Janvier, The Lefevre Gallery, Paintings by Hans Hartung, Londres. Décembre participation à Youger European Painters, The Solomon R. Guggenheim Museum, New-York.
HH s'installe avec Anna-Eva Bergman dans un atelier situé 7, rue Cels à Paris.

ŒUVRE IMPRIMÉ

Estampes présentées:
- Galerie La Hune (gravures de Hartung, Schneider, Singier, Soulages, Germaine Richier et Anna-Eva Bergman), en collaboration avec les ateliers Lacourière, Paris


" […] en 1953, je n'avais plus d'atelier, plus de chevalet, plus de peinture, plus rien du tout, et nous habitions une toute petite pièce dans un hôtel. On ne pouvait rien faire là, tout juste manger et dormir. A ce moment-là, la question s'est posée: pourquoi ne pas aller travailler dans un atelier où l'on puisse faire quelque chose, de la gravure, de la litho … Nous sommes allés chez Lacourière, où nous avons été très gentiment reçus, c'était merveilleux. Madame Lacourière était une femme extraordinaire, Frélaut connaissait bien son métier et nous a appris, à Anna-Eva Bergman et à moi, la gravure. Nous avons passé là une demi-année je crois, ou même plus."
(1)
A l'atelier, il expérimente tout l'éventail des techniques de la gravure sur cuivre (eau-forte, aquatinte, brunissoir, vernis mou, brosses et grattoir, papier de verre, morsure directe au pinceau, burin, roulettes et héliogravure au grain).
L'intervention de la pointe sèche et du burin est très modeste. Il n'utilise jamais ces outils pour créer un dessin sur une plaque vierge. Pour quatre planches, il recourt à la pointe pour quelques menues retouches, dans la composition déjà existante. Il s'exprime d'ailleurs au sujet du burin: " Je l'ai essayé et des hommes, par exemple, comme Gonzalez l'ont fait merveilleusement, mais lui était sculpteur de fer, de métal, alors il tapait là-dessus là avec son marteau et il faisait une ligne droite, droite, droite ou courbée, n'importe quoi. Enfin, il savait faire. Et puis, c'était profond. Il a fait des choses très belles mais c'était un travail manuel qu'il faut connaître, qu'il faut apprendre, qui est dur. Moi je préfère que la main reste libre et puisse faire son trait, comme ça, comme on le pense à toute vitesse et si possible aussi avec toute la force. Après, quand l'acide grave en profondeur, c'est une merveille pour le dessinateur." (1)




G 11 - RMM 70

G 22 - RMM 81



G 26 - RMM 85
Il produit une série de vingt-neuf planches en couleur et développe sans limite toutes les possibilités qu'offrent l'addition de plusieurs cuivres (deux à trois), l'évolution du sujet par le travail des états (jusqu'à treize) et les recherches de couleurs, chaque étape faisant l'objet d'un tirage sur papier, avant d'arriver à l'épreuve définitive. (G 1 à G 19).
G 013, plaque du fond et épreuve - RMM 57
La technique lui permet, en imprimant chaque essai, d'effectuer de nombreuses recherches de couleur et variantes de teintes.



G 2, essais et épreuve définitive - RMM 61
Gravure inspirée d'une toile peinte à l'huile sur toile deux ans auparavant.
T 1951-26    
Le passage d'une technique à une autre, d'un format ample (28 x 100 cm) aux dimensions d'un petit cuivre (15 x 28 cm) ne perturbent pas HH . Les sujets gardent force et caractère à chacune des techniques spécifique.
" Au fond, je me sens davantage à l'aise avec les instruments de gravure qu'avec le pinceau. Le processus est tellement radical, et la résistance du matériel me plaît beaucoup. Ce qui m'ennuie dans la gravure - mais j'espère surmonter cela - c'est la lenteur, le fait d'être souvent interrompu. [...] Ce que je ne fais jamais: une unique eau-forte ou une unique lithographie. Si je commence, il faut que j'en fasse beaucoup pour m'échauffer." (12)





G 7, essais et épreuve définitive - RMM 66

G 9 - RMM 68






G 9, dix états et deux cuivres, de nombreux essais de combinaisons de plaques, d'états successifs, d'essais de couleur, sont faits pour arriver à l'épreuve définitive.

G 13- RMM 71
5 cuivres assemblés deux par deux et 8 états: combinaisons de plaques, essais de couleur et état final


"... Ce travail de gratter le cuivre ou le zinc est vraiment fait pour moi et cette passion m'a poursuivi jusqu'à avoir encore vingt ou trente années après une nette influence sur ma peinture, spécialement dans les années 1961 à 1965, où j'ai pris l'habitude de gratter, avec différents instruments, dans la pâte fraîche des couleurs, couleurs souvent sombres." (2)

1954 Avril, rétrospective, Palais des Beaux-Arts, Bruxelles. Participation à la Biennale de Venise.
"[Nous avons] passé les printemps et les automnes (1954 à 1958) dans une villa au bord de la Méditerranée. J'y fis alors beaucoup de photos de cailloux, mais surtout des centaines et des centaines de dessins à l'encre de Chine. Ils ont eu une forte influence sur ma peinture de cette époque où de grands signes noirs apparaissent sur des fonds de vert froid très clair, de rouge minium ou d'autres couleurs." (2)

Expositions d'estampes:
- La Hune, L'œuvre gravé de Hans Hartung, Paris

1955 En juillet, participation à la première Documenta à Kassel

Expositions d'estampes:
- Moderna Galerija, Exposition internationale de gravure, Ljubljana
HH sera présenté à la Biennale jusqu'à 1979.

1956 En novembre, Hans Hartung Peintures récentes, Galerie de France, Paris. La Galerie de France, sous la direction de Myriam Prévot et Gildo Caputo, représentera Hartung juqu’en 1980. Puis en novembre aussi, Hartung Dessins 1921-1938, Galerie Craven, Paris.
- Membre extraordinaire de l'Akademie des Künste, Berlin