G 16, 1953
eau-forte, aquatinte et papier de verre [+ roulette], sur cuivre
415 x 327 mm

A.
I. Epreuves
1er état
(3) épreuves sur vélin de BFK Rives, sans aucune inscription, soit:
a. (1) reprise au fusain (510 x 490 mm; avec la grande marge en tête)
b. (1) reprise au fusain (510 x 485 mm)
c. (1) reprise au fusain, avec des zones à tonalité plus bistrée, avec un essai vertical de fusain au verso (505 x 425 mm)
2e état
B. | plaque à angles ronds et biseaux
(l’extrémité supérieure de la «corne», en haut à gauche, a été renforcée et élargie à la roulette; certains tracés, sur la droite, ont été renforcés et prolongés à la roulette)
d. l’épreuve sur vélin d’Arches (658 x 504 mm), sans aucune inscription 

II. Edition [?: 1957-1959]
e. 75 épreuves sur vélin d’Arches, au format moyen de 655 x 500 mm, justifiées et signées (par exemple 54/75, soit justification de la main de DR)
+ diverses épreuves, soit:
f. (1) portant (da capo !) 54/75 (justification de la main de MA) et la signature H—t—g
g. (2) portant épreuve d’artiste et la signature H—t—g
h. (1) sans aucune inscription

Lacourière, Paris / Lacourière, Paris
S. 45 (sur cuivre ; 75 épreuves justifiées et signées)

Dans ses listes à usage interne, HH a dénommé cette pièce Les forts noirs ou Les noirs forts.

Pour les épreuves de l’édition proprement dite, on renverra (cf. documenta­tion FHH) à une note ma­nuscrite du 5.2.1959, de la main de [?: Madeleine Lacourière], précisant: Noire verticale [corrigé par HH: Les forts noirs] — 26 épreuves |25 à numéroter de 51 à 75 |1 pour le dépôt légal. Un dépliant illustré de la Galerie d’art moderne Marie-Suzanne Feigel, Bâle, de mai 1966, signale sous no 15, avec la date de 1957, également prêtée à G 15 et L 17 [RMM 74, 93] (!), une épreuve marquée E.A. Ces deux détails documentaires pourraient inciter à dater l’édition proprement dite de 1957-1959 ...