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n° RMM
RMM 292

G 1970-10, 1970
aquatinte (sucre) sur cuivre, en noir bleuâtre HH, sur vélin texturé de [Guarro]
398 x 510 / 560 x 750 mm (format moyen)

Tirage (1971)
75 épreuves, dont à tout le moins :
a. (2) justifiées et signées (soit : 14/75, 15/75)
b. (64) seulement justifiées (soit: 1/75, 2/75, 11/75-13/75, 17/75-75/75)
         >>> Identification 2002
64 épreuves, à justification en chiffres arabes, marquées du timbre sec AHH (soit: 1/75, 2/75, 11/75-13/75, 17/75-75/75)
+ diverses épreuves, soit:
c. (15) portant seulement E.A.
         >>> Identification 2002
XV épreuves, portant E.A. et justifiées en chiffres romains, marquées du timbre sec AHH  (I/XV-XV/XV)
d. (4) portant seulement H.C.

Editorial Gustavo Gili, Barcelone / —


Nous avons là la première des 8 «petites» gravures réalisées à Barcelone chez Gili en 1970 (cf. commentaire ad RMM 283). G 1970-10 apparaît dans Hans Hartung -1971, catalogue d’exposition, Paris 1971-1972, Galerie de France, sous n° 10 (gravure 52 x 40 / papier 76 x 56) de la Suite de seize gravures chez Gustavo Gili, Barcelo­ne 1971 -Tirage 75 exemplaires. Le «Catalogue historié 1970» (2e feuille, intitulée Les petites : 52,5 sur  40, valant pour les plaques G 1970-10 à G 1970-17), indique, au n° 10, de la main de HH, qu’il existe un bon à tirer (où ?), qu’il est O.K. / comme il est, et qu’il s’agit d’une gravure au sucre. Le «Relevé justificatif 1970» enregistre Forma 10:  / 5 H.C. pour HH.

Une carte quadrillée, annotée Reçu le 16/11/71 par MA, compte: 65 à numéroter 11/75 à 75/75 / 15 E.A. / 4 H.C. / soit 84 Epreuves / 1 Envoyer a la Gal. de France oct, 71 / 85 Total. Un ajout de la main de MA, sur le «Catalogue historié 1970», 2e feuille, précise que les épreuves 1/75 et 2/75 ont été livrées précédemment à HH – qui écrit le 14.4.1971 à Gustavo Gili, que, En ce qui concerne les épreuves H.C. et les autres numérotées 1/75 et 2/75, il faudra les remplacer par de vrais épreuves sans défaut, parce que celles que tu m’as envoyées jusqu’à maintenant ont, soit des taches, soit les papiers froissés, soit les bords du papier abîmé. Les «défauts» pointés sont si fréquents (dans l’historiogra­phie de HH) que l’on en vient à se demander si les imprimeurs sont vraiment plus négligeants que les artistes ne sont quérulents.


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