[FEMME BRAS REPLIÉ] I, [1928]
pointe sèche, sur celluloïd; 108 x 45 mm

diverses épreuves, soit:
a. (1) sur japon léger (226 x 155 mm), à l’encrage lourd, mal essuyé, sans aucune inscription
b. (2) sur japon léger (format moyen: 313 x 193 mm), sans aucune inscription

[l’artiste] / —
S. —

On sait, grâce à une photographie (documentation FHH), qu’il existe un dessin au crayon ou à la mine de plomb correspondant en contrepartie à la gravure. On y ajoutera – dans le même sens que la gravure, mais montrant en plus la croupe et la naissance des cuisses – un grand dessin de construction (FHH, inv. 5162-36 ; cf. document en rapport), figurant 4 stades, à la mine de plomb sur vélin, plié en feuillet double (490 x 375 mm), portant à l’extérieur (p. [1]) Radieru-ngen (cette «chemise» rassemblait la totalité des épreuves RMM 23 et 24). On renverra également à une huile sur toile (87 x 46 cm) correspondant en contrepartie à la gravure, malgré quelques différences, qui existe à la Gemäldega­lerie de Dresde (inv. 87/26, HH 4045): elle y est datée «vers 1927» sous le titre de Sitzende Frau. D’une manière plus générale, il y a 6 œuvres à tout le moins que l’on peut mettre en rapport avec le sujet de la gravure.

On ne saurait exclure, comme l’enseigne le Portrait du père de l’artiste (RMM 16 et 17) que l’épreuve a. de la gravure sur celluloïd ait servi de matrice à une contre-épreuve qui permit le report en vue de la seconde réalisation de cette figure, à la pointe sèche, sur métal (RMM 24), congruente avec la première.